Il y a celui des agneaux, celui que les profs demandent en classe, celui de John cage, celui de la ville qui n’en est jamais vraiment un, celui traversé par la surdité qui s’emplit de mille autres signes, celui de sa maison lorsque l’on se retrouve seul, celui que l’on place dans une conversation, celui que l’on subit devant les patriarches des AG. Il y a les silences et on vous les fait entendre pendant une heure